Interview the Rapist

"Le problème avec la France est que le public n’aime que le son français produit par des DJ français. Mais on a pas besoin du reste du monde pour garder le hardcore en vie."

La suite sur Signal-Zero le site qu'il te faut :
www.signal-zero.info/article.php3?id_article=351

"Le problème avec la France est que le public n’aime que le son français produit par des DJ français. Mais on a pas besoin du reste du monde pour garder le hardcore en vie."

Je rajouterais meme que le public français n'aimes que le son français produit par unDj Français.......
Je ne citerai pas de nom :hanged:

lol!!

La Loky ferait-elle sa jalouse ?

ah bon les francais aiment le hardcore ????

La Loky ferait-elle sa jalouse ?

Un peu kmme Nan C juste que quand tu regardes les fly avec de plateaux HC t'as comme une impression de déja vu 1000 fois, et je trouve ça un peu dommage pour les autres, et pas que pour moi....
En mme tps on ne peut pas les blamer, ce n'est pas eux qui organisent les soirées.....

C'est bien ça le pb!!! Il est triste qu'il y ait ce starsystem dans ce style de musique. Que certains Dj soient très bons et compilent bon feeling et superbe technique c'est très bien. Qu'ils soient connus, ca va de soi. Mais le pb c'est que la scène hardcore n'est pas assez grande pour que les soirées soient les plus diverses possibles et quand je dis celà je pense à la scène techno, qui regorge de très bons Dj mais dont, finalement, on entend pas parler plus que ça alors qu'il y a de nombreuses soirées par semaines.

Enfin... je ne sais pas si j'ai été très clair mais bon...

La Loky ferait-elle sa jalouse ?

Un peu kmme Nan C juste que quand tu regardes les fly avec de plateaux HC t'as comme une impression de déja vu 1000 fois, et je trouve ça un peu dommage pour les autres, et pas que pour moi....
En mme tps on ne peut pas les blamer, ce n'est pas eux qui organisent les soirées.....

Ces DJ ont scié la branche sur laquelle ils étaient assis. Après, qu'il n'y ait plus en France de soirées hardcore ne relève pas de leur responsabilité.
Pas la peine de faire une chasse aux sorcières, d'accuser l'état ou le public ou quoi... On est en 2005, année 0, et si on veut que ça bouge arrêtons de pleurnicher en nous regardant le nombril et bougeons.
Et comprenons enfin que le jeu des quelques labels parisiens installés n'est pas le même que le nôtre.

On est en 2005, année 0, et si on veut que ça bouge arrêtons de pleurnicher en nous regardant le nombril et bougeons.
Et comprenons enfin que le jeu des quelques labels parisiens installés n'est pas le même que le nôtre.

Bouger?? Três bien, je suis partant mais que propose tu? Pour ma part, j'ai réfléchi un peu au sujet (en lien finalement avec le post "Question Existencielle) et je ne vois pas de solutions révolutionnaires ou nouvelles... enfin.... tout dépend de ce qui est visé : si c'est la gloire médiatique là je reprend ton post OJ "pour être connu faut tourner et, etc..."
Si c'est le fun, ben faut simplement continuer de faire des petites soirées tranquilles avec des artistes de qualité, promouvoir au maximum les net labels et faire des soirées pour les sorties des nouveaux sons, etc...

Tout dépend de ce que l'on recherche je pense...

Pour ce qui est de l'année 0 tu pense à quoi ?

Pour ce qui est de l'année 0 tu pense à quoi ?

Année 0 pour dire que :

- Peu voire pas de soirées ;
- Difficultés récurrentes pour les organiser ;
- Etiolement du maigre public intéressé ;
- Inexistence d'un pool fourni de DJs 'tête d'affiche' propres à remplir des salles avec leurs noms. En France les têtes d'affiche hardcore sont Manu et Radium, et encore, leur attractivité s'est émoussée (cela n'est pas incompatible avec le fait qu'il y ait de bons artistes mais pas de soirées où les écouter);
- Production musicale disparate (je ne dis pas qu'il y a rien, au contraire, il y a beaucoup d'initiatives morcelées, mais on tourne encore beaucoup sur une déclinaison perpétuelle du son micropointeux mis au point il y a longtemps) ;
- Incapacité du milieu (?) à unir ses intérêts pour sortir de l'impasse.

En France on se branle beaucoup sur les restes d'une scène qui a explosé sans avoir vraiment décollé. D'où l'ambiance "c'était mieux avant" si répandue.
La techno n'attire plus les jeunes, qui se précipitent chez Marylin Manson.
J'accuse personne. Je constate. Mais pour pas déprimer, je vais faire ma piqûre de rappel régulièrement en Hollande.